vendredi 25 novembre 2011

Polar pour un vendredi 13: Jazz cool et morts subites


Des truands et des meurtres, entre Montréal et le Mexique...
Un tueur à gages se cachant derrière une contrebasse et le jazz
Un roman policier filtré à l'eau de rosier piquant

Auteur : Michael Draper
Éditeur : Marcel Broquet, la nouvelle édition . Collection Coulée noire


Publié sur ServicesMontreal.com, le 13 mai 2011

Jazz cool et morts subites
En ce vendredi treize, voici un roman non pas à l'eau de rose pour filles romantiques mais un roman policier, un polar filtré à l'eau de rosier piquant se cachant derrière une musique surprenante.

Contrebassiste de jazz en façade et grand séducteur, Réal Beauregard est d'abord et avant tout tueur à gages au service de la mafia de Montréal. Aimant sans réserves les femmes, il s'est jusque là imposé quelques règles qu'il est sur le point de briser l'une après l'autre, en moins de trois jours. La première, de n’accepter pour cible que des petits truands inconnus et sans importance, mais jamais de femmes auxquelles il ne voudrait faire «que du bien».

Sauf que devant les liasses de billets et l'insistance d'un lieutenant du mafieux en chef dont il baise l'épouse, il accepte le mandat morbide, un énième pour ce «musicien jazz» qui se donne en spectacle régulièrement dans la même boîte, en compagnie de deux autres dont un pianiste jazz qui se blessera et forcera ses compères à forcer la note pendant toute une soirée bien fatigante à son goût mais à laquelle il se soumettra... il faut bien préserver les apparences !

Le musicien-tueur s'envole donc vers la chaleur de Cancún pour y refroidir une demoiselle qui, selon les dires des donneurs d'ordres, se serait éclipsée avec une valise renfermant neuf cent milles dollars qui devait être remise à un Vénézuelien fournisseur de drogues.

Mais en voyant pour la première fois la belle Rosalie Columbo, il comprend un peu tard qu’il vient de commettre la pire erreur de sa fausse vie, lui qui rêvait d'aller prendre sa retraite en Asie.

La belle Rosalie et le séduisant Réal tombent follement amoureux et, voyant le spectre des problèmes qui pourraient surgir, ils ont avantage à s’unir pour sauver leur peau.

Traqués, les nouveaux complices se débarrassent de quelques indésirables, avant de mettre le cap sur la Thaïlande, puis l’Australie, pour y exploiter un restaurant qui leur permettra de blanchir les liquidités dont ils disposent. La vie est belle, faussement et pour un temps puisque rattrapé par ses vieux démons, Réal se retrouvera bientôt dans de sales draps.     


L'AUTEUR
Né au Québec, diplômé en sociologie de l’Université Laval et en administration de l’Université Harvard, Michael Draper a été chercheur en psychiatrie sociale, professeur en sciences du comportement dans plusieurs universités, puis gestionnaire et conseiller en développement international. Il a résidé dans huit pays et réalisé sur quatre continents des mandats pour le compte de nombreuses organisations internationales. Il vit depuis quelques années dans les Laurentides, tout en effectuant de longs séjours en Asie du Sud-Est, sa destination préférée..


EXTRAITS

« Avec le billet électronique et la confirmation pour l'hôtel, on va te donner les coordonnées de Porfirio Sanchez, qu'on a déjà mis dans le coup. » (p. 21)

« Comme vous voudrez, répondit Sanchez. Si vous avez besoin de quoi que ce soit d'autre, n'hésitez pas à me faire signe. Big Joey Scalpino est un ami avec qui je trouve beaucoup d'avantages à m'associer, et je tiens à ce que ses collaborateurs ne manquent de rien dans notre belle région. » (p. 25)

« Mon rythme cardiaque ne tarda pas à s'accélérer sous l'effet de pulsions lubriques, et je me mis à convoiter follement cette Rosalie, bien résolu à la conquérir avant d'accomplir ma double mission. » (p. 27)

« Je répondis que j'étais musicien, plus précisément contrabassiste. » (p. 33)


Marcel Broquet, la nouvelle édition

IDÉES CADEAUX LIVRES
Journée ONU contre la violence faite aux femmes

jeudi 24 novembre 2011

Les oiseaux du Québec - Guide d'identification


Livre d'ornithologie
1200 photos, 326 espèces

Auteure : Suzanne Brûlotte (entrevue vidéo)
Éditeur : Broquet


Publié sur ServicesMontreal.com, le 8 avril 2009


Est-ce vrai que la plupart des gens connaissent plus de marques d’automobiles que d’espèces d’oiseaux ?
On a l'habitude de voir des oiseaux volant dans le ciel, de les entendre chanter dans les arbres ou picorer l'herbe à la recherche de nourriture, mais comment faire pour les reconnaître, les identifier ?

Un guide complet des oiseaux résidant au Québec publié chez Broquet
Classés selon leur taille, une méthode propre à Suzanne Brûlotte, auteure de nombreux livres en ornithologie, ce guide super facile à repérer des oiseaux résidant au Québec comprend aussi les oiseaux migrateurs, visiteurs fréquents ou rares et nordiques pour en arriver à 326 espèces alors que le guide d'initiation, best-seller de la même auteure, en compte 169.

Plus de 1200 photos : 4 photos par page + une galerie photos à la fin
Tout au long du guide d'identification qui vient tout juste de paraître chez Broquet, de magnifiques photos d'oiseaux aident à l'observation avec toutes sortes de détails spécifiant les différences entre le mâle et la femelle ainsi qu'avec les juvéniles et les immatures, en plus de nombreuses autres informations codées selon plusieurs pictogrammes qui sont décrits à la toute dernière page du livre, encore une fois facile à consulter et à retrouver. Chaque espèce étudiée est décrite de long en large avec 1 grande photo et trois petites et dépeint en plus sur une carte du Québec les aires où trouver l'oiseau en question, et à quelles saisons. Dans les planches photos en fin de guide, on trouve plusieurs exemples de parulines, bruants, oiseaux de proie en vol, canards barbotteurs, plongeurs...

ABC de l'ornithologie
Le guide de Suzanne Brûlotte débute par une introduction et près de 50 pages de conseils allant des vêtements aux sorties en groupe en passant par les territoires, tailles, plumages, catégories, chants, signes distinctifs, etc. Vraiment avec cette introduction et le guide qui suit, le plus mécano de votre entourage saura s'y retrouver et apprécier ces petits êtres qui agrémentent si joliment le paysage et les journées au grand air.

Exemple : le DURBEC DES SAPINS (p. 275)
5 photos pour ce joli représentant peu farouche de l'ordre des passeriformes de la famille des fringillidés au plumage rouge framboise, aux ailes noires et barres alaires avec queue longue et foncée pour une taille de 23-25 cm, dont le vol est caractéristiquement onduleux, dont la femelle est plutôt grise, dont le nom en anglais et en latin... et dont le chant musical... Vraiment une description trop complète pour vouloir tout reprendre ici !

Solide de toute l'information qu'il contient et sous sa couverture rigide, Les oiseaux du Québec - Guide d'identification de l'auteure Suzanne Brûlotte publié chez Broquet tient compte de récents changements de noms chez certains oiseaux.



Suzanne Brûlotte, en entrevue au Salon du Livre de Montréal 2010Vidéo et entrevue : Jacqueline Mallette, ServicesMontreal.com



De la même auteure : Le grand livre pour attirer les oiseaux chez soi et  Les oiseaux... une passion 


IDÉES CADEAUX LIVRES

LIVRE POUR TOUS : Le Voyage


Un merveilleux premier conte publié de Robert Blake... un baume pour le coeur, pour tous

Publié sur ServicesMontreal.com, le 14 décembre 2004

On dit que ce livre soigne les coeurs et que pour en saisir l'essence, il s'agit de lire, à la page 103, La petite pomme. Écrite en 1984 et disponible en ligne sur le site des Éditions du 9e Jour, Robert Blake affirme qu'elle lui a valu deux mille sourires au Salon du Livre de Montréal 2004.

En fait, il faut tout lire... et le garder à portée de main pour en relire les pages qui nous touchent le plus. Parfait comme livre de chevet si on espère trouver des solutions aux problèmes et aux défis que nous impose la vie. Le Voyage rejoint autant les intellectuels qui lisent beaucoup que les gens qui lisent très peu, quel que soit leur âge : les personnages principaux, Monsieur Jacquot, le vieux philosophe, et Paola, la jeune enfant, font preuve de beaucoup de sagesse et sont d'excellent conseil.

Extrait
« Or quelle ne fut pas la surprise de la reine de constater que sa fille avait non seulement deux oreilles placées de chaque côté de la tête, mais aussi une petite oreille collée sur le coeur ! ... Le roi et la reine décidèrent de l'appeler Sohïana, ce qui signifie « le coeur qui écoute ». (p.49)

Commentaires de l'auteur
Né à Ville Saint-Laurent où vit sa famille depuis trois générations, Robert Blake se souvient des comités de lecture composés de gens âgés de 8 à 85 ans : « Ça touche autant l'enfant de 7-8 ans et même de 5 ans - quand c'est un adulte qui le lit - que l'ado, les adultes et les persones âgées, et ça, je sais que c'est assez rare qu'un bouquin puisse être partagé par plusieurs générations. » Il poursuit : « Hier, je recevais un courriel d'une ado de treize ans qui m'écrivait ... normalement j'aime pas lire et votre livre, je l'ai bouffé en-dedans de 2 jours » et un autre d'une dame de 60 ans : Quelle belle histoire ! Une seule déception cependant. J'aurais aimé en lire encore et encore. Alors je l'ai relue avec la même avidité. Vraiment un petit livre à lire et à relire. Un baume pour le coeur, l'âme et l'esprit. Pour Robert Blake, « c'est le plaisir d'écrire qui est tout simple » et il ajoute « J'ai eu le grand plaisir et le grand bonheur de rencontrer les gens ».

Publié aux Éditions du 9e Jour, Le Voyage est magistral de par son contenu ; sans longueurs, sans temps morts, c'est 134 pages à savourer une à une. Ce premier conte de Robert Blake, que certains surnomment déjà le Paulo Coelho ou le Saint-Exupéry québécois, est disponible pour achats en ligne et dans toutes les bonnes librairies. Et à 14,95 $ c'est le petit cadeau idéal pour tous les groupes d'âge.

Également du même auteur, chez le même éditeur : Kaya et Le Bleu de l'espoir

IDÉES CADEAUX LIVRES

LIVRE DE RECETTES : Les secrets culinaires de Maman


Plus de 200 recettes délicieuses et réconfortantes, plats traditionnels et familiers au goût du jour
Auteure : Gemma R. Bernard
Éditeur Modus Vivendi


Publié sur ServicesMontreal.com, le 14 janvier 2009

Soupes et potages, pains, salades, mayonnaise maison, trempettes, plats de résistance, rosbif, tourtières, poulet, jambon, sauces à spaghetti, légumes, gâteaux et glaçages, galettes, biscuits et petites douceurs...


Recueil pour une alimentation goûteuse à saveur québécoise
Des cigares aux choux au petit goût piquant inusité aux véritables tartes au citron qui font saliver, ce livre contient 200 recettes de cuisine renfermant des trucs originaux testés au fil des ans sur des plats typiquement québécois, comme nous les préparait notre maman avec amour et savoir-faire.

De format grand livre, on le feuillette tout d'abord avec le sourire charmé de souvenirs, un peu comme on lirait une bonne histoire de notre enfance ou comme on regarderait un album photos. Parce qu'il en contient de belles et grandes photos servant à illustrer des recettes à la fois traditionnelles et remises au goût du jour pour sa propre famille et pour sa visite. Et si la recette de pâte à tarde de grand-maman ne semble pas avoir bougé, son pain d'épices au syrop d'érable et son pouding chômeur contiennent possiblement des ingrédients qui ne se trouvaient pas dans l'armoire chez ses parents. C'est un beau livre, aux idées de repas qui réchauffent en hiver et qui rafraîchissent en été, concoctées à l'aide d'ingrédients faciles à trouver chez nous, avec des trucs à savoir si l'on peut congeler le plat ou non, sur des ingrédients inhabituels que l'on peut choisir d'omettre. De beaux et bons repas familiaux en perspective.

L'auteure
La maman du livre de cuisine québécoise, Gemma R. Bernard, vient de la campagne, née la quatrième d'une famille de 15 enfants. Infirmière de formation, elle a d'abord appris les bases de la cuisine familiale auprès de sa mère dès l'âge de 12 ans. Épouse d'un cultivateur, mère de trois fils, elle a aussi été conseillère municipale et mairesse avant de prendre une retraite active, bien sûr, dans le bénévolat communautaire, la peinture à l'huile et la cuisine.


IDÉES CADEAUX LIVRES

Le Boréal Express, journal d'histoire du Canada en 3 volumes


Le Boréal Express, journal d'histoire du Canada 1524-1760 

Notre coup de coeur du Salon du Livre 2009

Un ouvrage fascinant : Presque 50 ans après sa parution, reparution de l'une des pierres d'assise de l'édition au Québec. Le second numéro sortira au printemps prochain et le troisième et dernier à l'automne 2010.

On n'imagine pas que des historiens puissent inventer un journal avec autant de pertinente impertinence 

Ajout de deux vidéos - rencontre avec Jacques Lacoursière au Salon du Livre de Montréal

Auteurs : Gilles Boulet, Jacques Lacoursière, Denis Vaugeois et Lévis Martin

Éditeur : Septentrion, Québec


Publié dans ServicesMontreal.com, le 6 novembre 2009


«Le Canada, une immense déception!» Ainsi s'ouvrait le second numéro du Boréal Express daté de 1543. Entrevues exclusives, dossier spécial, les journalistes concluaient que «les déceptions actuelles, les difficultés rencontrées par Jacques Cartier, l'échec de Roberval ne doivent pas être cause de l'abandon du Canada». Des journalistes au Canada en 1543? Là réside le génie de ce journal historique publié à partir de 1962. L'équipe de rédacteurs, constituée principalement de Gilles Boulet, Jacques Lacoursière et Denis Vaugeois, s'est donné le défi d'imaginer ce qu'aurait pu être un périodique publié à l'époque où les événements ont eu lieu. Par bonds successifs d'une dizaine d'années, ils dévoilent non seulement l'histoire mais aussi le patrimoine, la vie quotidienne et les dessous politiques de ces nouvelles terres nommées Amérique.

Dès sa parution au début des années 60, Le Boréal Express, savamment concocté par Gilles Boulet, Jacques Lacoursière, Denis Vaugeois et Lévis Martin, a connu un succès fulgurant. Cette bande de jeunes historiens d'alors avaient trouvé un moyen très ludique de faire connaître notre histoire à un large public, à la suite de quoi, année après année et semaine après semaine, c'est le livre que chez Septentrion le public réclamait le plus. À la demande générale, le revoilà à nouveau disponible pour la nouvelle génération.

Les nouvelles en Nouvelle France, de la découverte à la Conquête
C'est absolument incroyable tout ce que l'on trouve dans ce merveilleux ouvrage, à commencer par tous les noms de rue, de quartier, de comté électoral... sans le saint ou l'identificateur qui le précède de nos jours, des chansons (Chant cérémoniel de chasse chez les Hurons, L'Anglais en fureur et autres), quelques notions de langue iroquoise avec une invitation à l'apprendre, la nouvelle de la Grande Paix de Montréal qui avait été à l'époque aussi importante que la chute du Mur de Berlin il y a 20 ans, celle de la reconnaissance des Pays-Bas par l'Espagne, de la parution des Sonnets de Shakespeare, de la fondation du Collège Harvard, « première institution de haut-savoir de la Nouvelle-Angleterre», une étude sommaire du budget des fortifications de Louisbourg, suivi d'un article considérant «L'île du Cap Breton rond-point du commerce nord-américain », des illustrations absolument magnifiques, des photos, un plan sur deux pages représentant une «Carte du Gouvernement des Trois-Rivières» tirant les traits des terres au bord du fleuve en 1709.






Les chroniques
L'ouvrage historique contient aussi des chroniques Colle et bricole avec des plans pour bâtir une maison, fabriquer une chaise et plusieurs autres meubles et objets d'utilité, Sciences et Techniques avec un article sur «un FER qui ne casse pas» découvert par des forgerons et une «machine arythmétique» pas mal plus encombrante que la calculatrice, la bande dessinée PEE WEE, Opinions, La ronde du monde, Voyages & Tourisme avec un article sur les «Traversées transatlantiques - Deux voyages par année», Nos anniversaires, des Lettres à la rédaction, Le pettit naturaliste, Page féminine dont l'une traite de « La garde-robe idéale • pour la future mariée • pour le futur marié » et, plus loin, un « portrait de la femme modèle » élaboré par Benjamin Franklin alors journaliste et auteur.

Les intitulés
Des titres comme «Barberousse, le corsaire d'Alger, demeure invincible», «Les plus sauvages ne sont pas ceux qu'on pense», «Vincent de Paul bat l'appel de la charité», «Les Iroquois détestent les chauves », «SPINOZA excommunié par les Juifs d'Amsterdam», «Le Labrador concédé à un Juif», «La Cie des Aventuriers d'Angleterre: Privilèges excessifs concédés à une compagnie privée», «L'acte d'établissement est adopté : Pas de catholique sur le trône d'Angleterre» et dans la même page «Mort de Jacques II d'Angleterre» ainsi que «Louis XIV roi de France et d'Espagne?», «Bagarre provoquée par une ursuline !» avec dans la même page «Persécutions religieuses au Tonkin» et «Le fondateur des Frères Hospitaliers de Saint-Joseph revient bredouille», à la page suivante « Le premier catéchisme En usage depuis dix ans», «Montréal devient la plus grosse agglomération» et «Montréal, Une des plus belle seigneuries», « A-t-on tué le théâtre en Nouvelle-France?», «Une nouvelle lunette astronomique: le télescope », « Molière s'installe au Palais-Royal», «Pierre Minuit achète l'île de Manhattan» et «Les barbus seront-ils excommuniés?»...

Et il ne s'agit là que d'un minimum d'exemples ; il y a souvent 7-8 titres par page sur 252 pages grand format, plus un index de 14 pages où l'on trouve par exemple sous Montréal, homologation des rues, un renvoi à la page 114, « Pour rendre hommage aux fondateurs de Montréal, ces nouvelles rues ont reçu les noms suivants : rue Paul, (Paul de Chomeney); rue Pierre (Pierre de Fancamp, prêtre et membre de la Compagnie de Montréal), rue Jacques (Jacques LeBer); rue Vincent (Vincent de Hautmesnil); rue Gabriel (Gabriel de Queylus); rue Lambert (Lambert Closse) » (extrait d'un article intitulé «Montréal : une ville qui s'organise», p. 114).




EXTRAITS

1543, Le Boréal Express, page 9, Hivernement pénible: Le scorbut, article dans lequel on peut lire le paragraphe suivant: « Il confie à Cartier le remède qui l'a guéri : une décoction de feuilles d'un arbre dit anneda» (p. 21)

Aux pages 26 et 27, voyons les titres de 1543: «S'il aime les sciences, votre fils doit-il fréquenter la faculté des arts ou la faculté de médecine?; Fabriquez-vous une paire de raquettes Soyez à la page, apprenez l'iroquois (avec des phrases toutes faites comme «Donnez-moi à souper» et «Allons nous coucher»); PEE WEE et son arc à isthme; Vésale dissèque un homme; Ambroise Paré, le chirurgien révolutionnaire, prépare un ouvrage; Les débuts de l'imprimerie au Nouveau Monde; Lettre à la rédaction : Le communisme inca avait préparé sa ruine; Une nouvelle arme: les gaz asphyxiants;Traitement pour le mal de mer; Cardan révélera-t-il le secret de Tartaglia? ».

Impossible de passer l'article suivant sous silence : on a envie de le rebaptiser Canadiens ou Nordiques???
1642, Le Boréal Express, page 9: «Un état dans l'état. La Société de Notre-Dame de Montréal dirige, de Paris, le groupe chargé d'établir, sur l'île de Montréal, un poste à la fois religieux et civil. Cette société a le pouvoir de nommer les gouverneurs du nouveau poste, d'y avoir de l'artillerie et d'autres munitions de guerre pour sa défense. Sa Majesté Louis XIII a confirmé la concession de l'île de Montréal, faite le 17 décembre 1640, et il a signifié au gouverneur de Québec de donner deux emplacements à la nouvelle Société, l'une au port de Québec et l'autre aux Trois-Rivières, pour y bâtir deux magasins, où elle pourra mettre en sûreté ses provisions. Le gouverneur de la ville naissante, Monsieur de Maisonneuve, relève directement de la société parisienne, et il n'est pas soumis à la juridiction du gouverneur de la Nouvelle-France. Ceci pourrait bien amener de sérieux conflits de juridiction.» (p. 69)

Une opinion toute à l'honneur du Québec
1672, Le Boréal Express, page 9: un article intitulé « Pour vos esclaves, le ROUGE vaut-il le NOIR ? [...] Nous ne pouvons que louer le geste de Monsieur de Courcelle [...] Le nombre d'esclaves noirs ne fait qu'augmenter aux Antilles. Nous croyons que la Nouvelle-France pourrait se passer de ce genre d'esclavage.» (extrait, p. 122)    

L'ouvrage concocté par les jeunes historiens qu'étaient les auteurs à l'époque où ils ont rassemblé tout ce contenu extraordinaire présenté sous forme de journal est tout à fait captivant. Intrigues politiques, éditoriaux engagés, les journalistes jouent leur rôle et sont les garants d'une information dynamique et de qualité.

Le journal Boréal Express, brillamment mis en pages et illustré par Lévis Martin, est un tour de force qui présente une vision unique de l'histoire de l'Amérique septentrionale. Presque 50 ans après sa première parution, le Boréal Express contient encore la plus vivante, la plus complète et la plus variée documentation sur l'histoire qu'on ait mise à la disposition du grand public.

Les Éditions du Septentrion permettent aux internautes de feuilleter le livre dans son entièreté à l'intérieur de leur site Internet : http://www.septentrion.qc.ca/catalogue/livre.asp?id=3071

Aussi disponibles chez le même éditeur :
Le Boréal Express, journal d'histoire du Canada Deuxième Volume, Régime britannique, 1760 - 1810
Le Boréal Express, journal d'histoire du Canada Troisième et dernier Volume, 1810 - 1841

IDÉES CADEAUX LIVRES

Ces femmes qui détruisent ... les femmes. Les ravages du «bitchage»


Notre énorme coup de coeur ESSAI et FEMMES, Salon du Livre 2009 + vidéo de l'auteure 

Best Seller : Vendu à 3 000 exemplaires en 10 jours
Un ouvrage vérité sur la qualité de vie pour tous et toutes
Une réflexion géniale sur un problème à nommer et à corriger

Auteure : Marthe Saint-Laurent
Béliveau éditeur, Montréal (Québec)


Publié en date du 29 novembre 2009 sur ServicesMontreal.com


Dans les années 1960, les femmes se libéraient du joug de l'église et de la tradition oppressante. Dans les années 1980, des conférienciers américains apprenaient aux gestionnaires, surtout masculins, à mieux traiter leurs employés afin d'enrayer les pertes de temps et en tirer le maximum. Dans les années 1990, les femmes accédaient ou croyaient accéder autant que les hommes à des postes de gestion. Mais voilà que malgré toute la bonne volonté des unes, certaines femmes s'entêtent à toujours agir comme si leur vie dépendait encore aujourd'hui des anciennes normes sociales qui les faisaient s'entretuer pour un homme. Tout ça devrait être dépassé mais les comportement haineux et envieux des femmes entre elles ne l'est absolument pas nécessairement. Comment cela peut-il encore se produire et pourquoi et dans quelle mesure et de quelle(s) manière(s) ?

Marthe Saint-Laurent a décidé de faire le tour de ces pratiques destructrices qu'ont encore de nos jours les femmes entre elles. Enfin quelqu'un s'y met ... et ce, avec beaucoup d'intelligence et de savoir-faire.

ServicesMontreal a rencontré l'auteure au Salon du Livre de Montréal 2009 :


Marthe Saint-Laurent sur le BITCHAGE au Salon du Livre 2009
Également dans cette vidéo, Robert Blake sur la MALTRAITANCE faite aux enfants

EXTRAITS

Difficile de choisir des extraits quand dans les 90 premières pages, on a marqué plus de 50 passages. Qu'à cela ne tienne, en voici quelques-uns :

« Par ailleurs, les frustrées, les envieuses et les jalouses, celles qui sont mal dans leur peau, entretiennent des relations où le contrôle et la dévalorisation de l'autre deviennent le noyau... » (Qu'est-ce que la nécessité ?, p. 18)

« Les femmes qui maltraitent les autres par leurs paroles et leurs actes posent réellemen un geste violent. (Conscientes de nos actes ?, p. 19) »

« J'ai même entendu quelques-unes se réjouir d'un congédiement injuste comme s'il s'agissait d'une victoire. N'est-ce pas pathétique ? Notre vie est-elle à ce point vide... » (Dent de la réalité, p. 21)

« Dans le premier témoignage, l'expérience avait complètement anéanti Judith. Elle a pleuré durant des semaines et des semaines, en se répétant qu'elle ne pourrait plus jamais travailler. Elle avait perdu toute confiance en elle sur le plan professionnel [...] mais également sur la plan personnel, les attaques visant autant sa personnalité que son travail. Elle était complètement démolie, ne se reconnaissait plus aucune valeur, arrivant à peine à se regarder dans le miroir [...] Cloîtrée dans une insécurité profonde, semblable à une femme victime d'inceste, Judith avait honte... » (Sentiments qui en découlent, pp. 41-42)

« Si en effet nous sommes attirées par notre supérieur [...] Est-ce simplement pour qu'il fasse preuve de favoritisme [...] On parle ici de la fameuse compétition féminine pour gagner un homme... [...] Les sentiments amoureux, pas plus que l'attirance physique, ne s'achètent. (Différents types de jalousie | Apparence physique : « Elle est plus belle que moi », p. 61)

« Je suis bien consciente, bien sûr, que les femmes qui s'intéresseront à ce sujet ne seront certainement pas les mégères, mais celles qui souffrent et qui sont aux prises avec des femmes dangereuses autour d'elles. Mais c'est un premier pas... » (Comment réagir ?, p. 171)

LA SUITE
Si l'auteure affirme sous l'intitulé Jouer à l'autruche en page 91 « qu'un livre de mille pages aurait pu être écrit sur ce sujet », elle s'en tient néanmoins à 174 bien étoffées et fort convaincantes. Pour le plus grand soulagement des bitché(e)s, Marthe Saint-Laurent annonce, dans la vidéo du 19 novembre dernier incluse dans cette page, une suite à son essai.

Maintenant, il reste par ailleurs d'autres livres du même genre à écrire, un autre problème qui n'a possiblement été nommé que par un grand auteur reconnu internationalement, Michel Tremblay, qui a osé parler des «écoeuranteries» que se font entre eux les homosexuels travestis ; mais qu'en est-il des uranistes à l'égard des femmes, leurs rivales ? Ne sont-ils pas aussi portés à les exclure systématiquement des environnements dont ils prennent le contrôle intermédiaire pour conquérir un hétéro malgré lui ?


Aussi disponible de la même auteure : Le «bitchage» • Guide de survie • 25 conseils indispensables 
Guide complémentaire au Best Seller qui s'est vendu à 3 000 exemplaires en 10 jours
Pour survivre aux bitcheuses et leurs bassesses, harcèlement, lynchage, élimination, besoin de régner
Pour se réformer si on est bitcheuse
Pour régler la situation infernale si on est gestionnaire

ROMAN NOIR : Installation, fiction entre New York et l'Islande


Se faire prendre par de fins subtils technos...

Installation

Auteur : Steinar Bragi
Éditions Métailié, N O I R, Paris


Roman noir, fiction entre New York et l'Islande

Les femmes et les hommes, le Pouvoir absolu... consenti ?

Une « suite d'événements organisés »


En date du 26 mars 2011 sur ServicesMontreal.com


Quelqu'un s'empare de votre vie... peu à peu, et vous, que faire ?
Installation, c'est l'histoire horrible d'une Islandaise ayant émigré aux États-Unis avec son père et qui au cours de ses études rencontre l'amour de sa vie, un Islandais émigré comme elle, étudiant comme elle. Enceinte, voilà que contrairement à lui, elle ne se voit pas passer de la pratique des arts à celle des couches et de l'alimentation pour bébé. Mais qui prend mari prend pays, même dans un tel cas et les suites de la confiance sont plus à craindre que celles de la défiance, aurait dit le suédois Axel Oxenstiern il y a trois siècles et demi. Elle part donc avec lui mais quelque chose les ramène par la suite à New York où au bout de cinq années ensemble, il lui annonce encore une fois qu'il n'en peut plus et qu'il veut repartir au pays. De nouveau, elle le suit mais à distance cette fois puisqu'il veut aussi une pause. Mais alors que lui a sa famille là-bas, elle n'a personne, ne connaît personne, n'y a pas de famille ou d'ami(es) à elle. Ayant déballé son chagrin lors d'une soirée arrosée, elle accepte l'offre d'appartement d'un type pourtant fort recommandable, semble-t-il.

Sauf que....
« tout était faux — tout ce qui lui avait été dit » (p. 58). Alors quoi ? Que penser ? Comment réagir... ? Tout particulièrement quand on a une énorme peine d'amour, qu'on ne sait plus, qu'on est complètement perdue, et que dans cet appartement trop grand, trop minimaliste et trop blanc on se fait envahir par une voisine qui a des airs d'ancienne madame, de maquerelle à la retraite... dans cette haute tour trop techno où tout peut se contrôler à distance, par « eux ».


Les femmes et les hommes, le Pouvoir absolu... « anihilant »
Ce roman noir porte sur les relations entre les femmes et les hommes, sur le consentement sourd, l'assourdissement du non-consentement, le pouvoir dirigé et absolu dont on use et on abuse sans frein possible.

Une « suite d'événements organisés » (p. 76, Femmes)
Dans ce pays du nord de l'Europe connu pour son ouverture d'esprit à l'égard des femmes, pour son bottin téléphonique original par ordre de prénoms et pour les couples qui ne se marient pas toujours mais qui toujours reconnaissent leurs enfants, voilà qu'un auteur cherche à renverser la vapeur et montrer une face cachée d'un geyser que personne ne voudrait connaître. Une horrible histoire de psychopathes se déroulant au-dessus de ses paysages déjà irréels. Qu'un luxueux appartement tout en haut d'une tour richarde en bord de mer serait le théâtre de haute technologie trop métallique pour être humaine, trop effacée pour ne pas être déguisée, trop aliénée pour ne pas être anihilante.

Un roman pas facile qui pousse vers la discussion
Ce livre pourrait vraiment faire l'objet d'échanges passionnants dans le cadre d'un club de lecture adulte ou de discussions animées pour un groupe d'amis; les femmes et les hommes pouvant se mesurer et s'opposer incommensurablement les uns aux autres en ce qui a trait à leur perception individuelle et groupale des actes posés tout autant que par rapport aux impressions que laisseront les réflexions et les comportements abusifs des personnages décrits.

Entre la femme et l'homme, entre la résignation et le pouvoir
Surtout que ce psycho-polar nord-européen se glisse éperdument jusqu'au bout de fantasmes odieux, des histoires de femmes et d'hommes... écrites par un homme. Une histoire de guerre lasse où la personne qui subit l'accablant chemin mortifère est une femme qui n'en avait pas eu, au préalable, la vision révélatrice.


L'AUTEUR
Steinar Bragi est né en 1975. Il a étudié la littérature comparée et la philosophie à l'Université d'Islande et a publié un grand nombre de poèmes et de romans dont Installation qui est le premier à être traduit en France.


EXTRAITS

« s'était immiscé dans leurs rapports quelque chose d'embarrassant et de flou. » (p. 18, La morte)

« Et ils sous-entendent ainsi les quatre-vingt-dix-neuf pour cent qui servent le un pour cent, mais secouent parfois leurs chaînes, par jeu. » (p. 58, Ici prend fin la fuite)

« Quel malentendu. Indomptable, éternelle et imbécile arrogance de la virilité. » (p. 67, La porte coupe-feu rouge)

« Rannveig se mit à parler du complexe d'infériorité des femmes au sujet de tout ce que les hommes disaient d'elles et comment ce complexe d'infériorité les écrasait dans leurs lieux de travail. » (p. 88, Se faire le visage)

« elle suggéra que la famille était de la mafia, des criminels, ou du moins sans moralité — tout comme le gouvernement. » (p. 91, Se faire le visage)

« Les gens ne portent pas leur vie intérieure sur eux. » (p. 94, Se faire le visage)

« elle ne pouvait pas se défaire de cette idée : qu'elle était la participante inconsciente d'une sorte de film d'horeur, et que des spectateurs invisibles étaient assis dans l'obscurité » (p. 71, Marie et Grace)


Éditions métailié, Paris



IDÉES CADEAUX LIVRES


Jeune auteure de 21 ans, elle démontre maturité, sensibilité et courage
Roman jeunesse - littérature fantastique se basant sur la quintessence pure
Rencontre vidéo au Salon du Livre de Montréal


Les Quatre Nillë
Tome I de la série La Guerre des Tinwë

Auteure : Marie-Jeanne Chaplain-Corriveau
Éditeur : Marcel Broquet, la nouvelle édition

Roman pour adolescents - créatures fantastiques
Amour - aventure - dons surnaturels - Temps - Étéments
Parents - père - mère - frères-soeurs - amoureux - jeunes - abus - le Bien - le Mal
Dragons - fées - elfes - sorcières - épées


En date du 13 mars 2011 sur ServicesMontreal.com




Marie-Jeanne Chaplain-Corriveau, âgée de 21 ans
Série pour adolescents
Vidéo de l'auteur, tournée par ServicesMontreal.com au Salon du Livre de Montréal 2010.
Son roman s'adresse à un public de 13 à 16 ans et à tout amateur de littérature fantastique.


Les Quatre Nillë, c'est le premier tome, le début d'une série fantastique dans laquelle s'affrontent le Bien et le Mal sous toutes sortes de formes. C'est l'histoire d'une jeune femme de 17ans qui vit chez ses parents dans une maison au bord de l'eau. Elle aime s'asseoir au bord de la rivière et marcher en forêt. Avec ses cheveux noirs et sa mèche bleue, elle ne se sent jamais à sa place ni acceptée de la part des autres. Elle fait tout de même des efforts pour survivre à ses cours et à sa vie mais elle voudrait bien en changer ; elle voudrait vraiment être différente ou encore comme tout le monde.

Puis l'adolescente ayant grandi dans cette petite ville québécoise (Aylmer, pour ne pas la nommer) se met à faire des cauchemars, à rêver très précisément d'une femme qui se suicide. Toutes les nuits, pendant un mois. Et ce mauvais rêve récurrent la propulsera dans un autre monde, elle qui se sait pas ce qui l'attend et qui ne sait même pas vraiment qui elle est. Elle devra confronter ses parents, s'engager dans une quête, dans une guerre où s'affrontent le Bien et le Mal... elle sera aux premiers rangs.

Premier tome en 3 parties
Dans ce premier fragment de ce qui promet vouloir se développer en une série mouvementée et aux rebondissements nombreux, on retrouve déjà tout ce qui fait un bon roman du genre : action, intrigues, amour, surprises, créatures fantastiques, pouvoirs et dons surnaturels, est-ce que j'ai mentionné amour et aventure ? Il se conjugue en trois parties, rassemblant les éléments de la quintessence.


Parfois même en quelques mots
Jeune auteure, Marie-Jeanne Chaplain-Corriveau démontre déjà une capacité exceptionnelle de reconnaître et de décrire les comportements humains de même qu'une sensibilité extraordinaire lui permettant de raconter des choses graves et de les intégrer dans une histoire qui semble légère et au parcours aussi limpide que coule l'eau de source au moment de surgir de terre.

De l'action et des monstres
Le débit de l'action se maintient tout au long des péripéties de la jeune héroïne de 17 ans à la mèche naturellement bleue ; pas de lenteurs, pas de temps morts. Elle décrit dans les détails des fées ou des créatures monstrueuses comme on peut en trouver des reproductions et des bibelots décoratifs dans les magasins spécialisés.

De la littérature pour adolescents
Vous aimeriez changer de monde ? Votre ado se trouve seul(e), s'ennuie, trouve sa vie plate et voudrait être ailleurs ? Voici l'occasion rêvée de l'intéresser à la littérature de son âge et de son pays... tout en voyageant dans d'autres mondes, par les Portes et les Couloirs du Temps, au gré des sorcières, des bêtes féroces, de fabuleuses princesses, et d'hommes forts et séduisants qui savent être tendres et attentifs.


EXTRAITS

«Je savais qui elle était sans le vouloir. » (p. 19)

« La ville était située dans une vallée bordée de montagnes bleues, au sommet blanc de neige. Un château, juste sous ma balustrade, se dressait sur un immense plateau perçant une chute d'eau claire, légèrement teintée de violet. » (p. 31)

« Mon peuple est un peuple d'éleveurs. Nos bêtes peuvent partir ou rester, nous ne les comptons ni ne les marquons jamais. Nos terres servent de lieu de rencontre et d'abondance pour toutes les espèces du continent. » (p. 33)

« On les appelle les Couloirs du Temps, en termes de magie noire. » (p. 40)

« je n'arrivais toujours pas à y croire. » (p. 40)

« Je me plaçai dans l'ombre [...] en tentant de disparaître le plus possible. » (p. 45)

« Ainsi installé, il était remarquablement séduisant et sa simple vue me fit frémir. » (p. 145)

« Laica brisa finalement le silence, mettant fin à la dérive de mes pensées qui m'amenaient partout loin de l'essentiel. » (p. 246)




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